La loi indique qu’en cas de décès de la donneuse, ses ovocytes prélevés en vue d’un don sont conservés et peuvent être donnés.
Si la donneuse décédée avait eu la possibilité de procéder à l’autoconservation de ses ovocytes au cours de la réalisation du don, il sera mis fin à leur conservation. (Cette possibilité était offerte avant la révision de 2021 aux femmes n’ayant jamais procréé.)